La fondation
hospitalière Saint Marie prend en charge, depuis juillet 2010, les
personnes déficientes visuelles Elle dispose pour cela d’un service spécifique,
qui est la résultante du transfert de deux établissements de rééducation bien
connus, spécialisés dans ce domaine, le Centre de Rééducation pour Personne
Aveugles ou Malvoyantes CRFAM (Marly-le-Roi) service d’hospitalisation complète
de 32 lits créé en 1963 et le Centre de Rééducation pour Personnes Malvoyantes
CRPM (Paris) service de rééducation en hôpital de jour de 12 places créé en
1994.
Elle peut s’appuyer sur l’intervention des autres
professionnels du Centre Paris Sud tels que des gériatres, médecins MPR,
kinésithérapeutes, orthophonistes, éducateurs sportifs, neuropsychologue.
Enfin, il est fait appel, autant que de besoin, à des intervenants externes
comme des oculariste, audioprothésiste, ORL, podologue, psychiatre.
La Fondation hospitalière Sainte-Marie, intervient
auprès d’environ 7200 patients et bénéficiaires, dispose de 1700 salariés et
est présente en Ile de France sur 4 départements (75-92-93-77). Les pôles
d’activité de cette fondation sont les soins de suite et de réadaptation, le maintien
à domicile et l’hébergement.
Notre service fait donc partie d’un des
établissements de rééducation fonctionnelle de la Fondation, le Centre Paris Sud, situé 167 rue
Raymond Losserand dans le 14ème arrondissement de Paris. Ce centre offre 172
lits d’hospitalisation et 32 places d’hôpital de jour réparties entre trois
domaines d’activité, la médecine physique et de réadaptation, la gérontologie
et la prise en charge des personnes déficientes visuelles (22 lits et 20
places).
Notre service accueille toute personne adulte,
aveugle ou malvoyante. Une évaluation est réalisée en fonction du dossier
médical et des demandes personnelles ou professionnelles exprimées par la personne.
A chaque fois que cela est possible, une rééducation spécialisée est proposée,
préconisant des stratégies de compensation et des aides techniques ou optiques.
L’objectif est de permettre à chacun de réduire les
conséquences psychologiques et fonctionnelles de la déficience visuelle,
notamment en ce qui concerne l’autonomie de déplacement, d’écriture de lecture,
d’utilisation des nouvelles technologies de communication et la maîtrise des
gestes de la vie quotidienne, cela afin de diminuer les situations de handicap
et de faciliter le maintien et la réinsertion dans le milieu familial, social,
professionnel ou scolaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire